Les quadras : 5 profils différents pour s’exprimer dans l’entreprise

Le cabinet Alter Ego Solutions publie une étude qui met en évidence 5 grandes catégories d’employés quadragénaires. Compétiteurs, bâtisseurs, cocooners, alternatifs ou partisans du libre arbitre… ils présentent des variétés de profils bien plus complexes que ce que les directions des ressources humaines se l’imaginent généralement.

En pleine actualité sur les mesures destinées à faciliter l’embauche des plus jeunes et à maintenir dans l’emploi les travailleurs de la catégorie séniors, le cabinet de conseil Alter Ego Solutions, spécialisé en marketing RH et recrutement publie une étude sur le profil des employés quadragénaires.

Une catégorie d’âge qui ne répond pas à un portrait robot type mais qui recouvre 5 profils très différents qui répondent à des objectifs de carrières aussi variés.

L’étude met en évidence que « l’effet générationnel est largement surestimé dans le domaine RH. En réalité, les motivations et les comportements professionnels traversent les classes d’âges ».

Les cinq profils de quadra en entreprise

Les Compétiteurs qui adoptent une stratégie de conquête. Ils adhèrent complètement aux valeurs de l’entreprise. « Individualistes et conquérants, ils ont constamment besoin de nouveaux challenges ».
Les Bâtisseurs. Eux aussi adhèrent aux projets de l’entreprise, mais ils n’envisagent leur concrétisation que par une mobilisation collective.
Les Cocooners pratiquent une stratégie d’équilibre. Pessimistes quant à leurs perspectives d’évolution, ils privilégient avant tout leur qualité de vie professionnelle.
Les Alternatifs. Alter Ego Solutions les décrit comme « désabusés par rapport à l’entreprise ». Ce qu’ils souhaitent c’est donner un sens à leur travail et l’évolution qu’ils envisagent passeraient par une formation à un nouveau métier et le développement d’un nouveau projet collectif.
Libre arbitre. Cette catégorie d’employés regroupe des individus pour qui l’autonomie est une valeur importante dans l’exercice de leur métier. Leur capacité à l’initiative (si on leur laisse la place de l’exprimer) et leur indépendance les rend les plus susceptibles à passer le cap de la création d’entreprise.

 

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